5 pensées que vous avez probablement eues avec votre enfant et pour lesquelles vous ne devriez jamais vous sentir coupable

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Je ne me souviens pas du premier moment oĂč mon fils de bambin a commencĂ© Ă  ressembler plus Ă  un petit enfant qu'Ă  un bĂ©bĂ© en croissance. C'est peut-ĂȘtre quand il est devenu tellement confiant dans ses capacitĂ©s de marche qu'il a commencĂ© Ă  s'aventurer seul dans la piĂšce Ă  cĂŽtĂ©, sans (probablement) aucune idĂ©e de ce qu'il ferait une fois arrivĂ© lĂ -bas. Si toute une maison comme un monde soudainement accessible et vaste Ă  explorer n'est pas la qualitĂ© dĂ©finitive de la vie d'un enfant en bas Ăąge, je ne sais pas ce que c'est. Ou peut-ĂȘtre que c'Ă©tait quand il a mis deux mots ensemble ("bain moussant"). Ou peut-ĂȘtre que c'Ă©tait peut-ĂȘtre quand il avait passĂ© plus de huit secondes Ă  regarder le mĂȘme livre, me donnant une chance de respirer, de regarder mon tĂ©lĂ©phone et de le regarder avec Ă©merveillement qu'il Ă©tait toujours en train de "lire". Rester avec lui a toujours le sentiment de prendre soin de lui presque tout le temps, de temps en temps, j'ai un lĂ©ger sentiment de penser que nous ne sommes que deux personnes qui passent du temps ensemble.

Et, comme tout le monde, vous passez des heures et des heures avec presque tous les jours, nous avons parfois des hauts et des bas. Habituellement, je peux attribuer ces moments Ă  la faim (cela peut signifier le mien, mais gĂ©nĂ©ralement le mien), ĂȘtre Ă  quelques minutes de la sieste ou de l'heure du dĂ©jeuner, ou Ă  celui oĂč j'essaye de faire plusieurs choses Ă  la fois (de maniĂšre inefficace, bien sĂ»r). ). Avant d'avoir moi-mĂȘme un bĂ©bĂ©, je pensais que la relation mĂšre-enfant Ă©tait immunisĂ©e contre les mĂȘmes problĂšmes que ceux rencontrĂ©s dans d'autres types de relations, mais je rĂ©alise maintenant que ce n'est tout simplement pas le cas. Mon fils a plus de marge de manƓuvre avec moi que quiconque dans le monde entier (mĂȘme vous, Chris Pratt, vous ĂȘtes une Ăąme parfaite), mais comme aucun de nous n'est parfait, il reste encore des moments de frustration de ma part. Et je parierais que je ne suis pas le seul Ă  avoir toutes ces pensĂ©es de temps en temps, surtout en ces temps frustrants:

"Si ce n'Ă©tait pas pour avoir un enfant, ma vie aurait l'air ..."

À l'origine, j'avais eu cette idĂ©e: "Si ce n'Ă©tait pas pour mon enfant, ma vie aurait l'air ..." mais comme vous pouvez le voir, je l'ai changĂ©e. Parce qu'en rĂ©alitĂ©, ce n'est pas sa faute si la vie a changĂ© quand je l'ai eu. Et ce n’est pas non plus sa faute s’il ne peut pas encore prendre soin de lui-mĂȘme et prend beaucoup de temps et d’énergie. C'est un peu la nature de la parentalitĂ©, quelque chose que j'ai volontairement signĂ©. Pourtant, malgrĂ© le fait que je me sois inscrit, je me trouve parfois en train de penser Ă  ce qui aurait Ă©tĂ© dans l'autre sens. Et alors que cela signifiait peut-ĂȘtre pas de couches Ă  4 heures du matin, pas de rĂ©veil au hasard, pas de griffures au cou avec une griffe de bĂ©bĂ© pendant l'allaitement, cela signifie-t-il que j'aurais rĂ©ellement l'occasion de porter les bottes Ă  talons hauts dans mon placard qui ont toujours l'air neuves? Aurais-je plus de temps pour Ă©crire? Serais-je plus enclin Ă  apprĂ©cier les boissons colorĂ©es faites avec les bouteilles d'alcool qui Ă©taient dans notre armoire depuis sa naissance? Je ne le saurais jamais. Et honnĂȘtement, je ne voudrais pas vraiment. Mais cela ne les empĂȘche pas de se demander avec dĂ©sinvolture Ă  quoi pourrait ressembler un enfant sans enfant, et il n’ya rien de mal Ă  cela.

"J'aimerais que mon enfant veuille ..."

Je souhaite qu'il arrĂȘte de pleurer. Je souhaite qu'il aille dormir. J'aimerais qu'il se rendort. J'aimerais qu'il me fasse un cĂąlin Ă  chaque fois que j'en demanderais un. J'aimerais qu'il arrĂȘte de me tirer les cheveux lorsque j'essaie de me blottir contre lui. Je souhaite que son nez arrĂȘte de courir. J'aimerais qu'il rigole comme ça tout le temps. Je souhaite qu'il atteigne toujours ma main. Je souhaite qu'il atteigne toujours pour moi.

"J'espĂšre que mon enfant ne voudra pas ..."

J'aimerais qu'il ne jette pas son assiette couverte de ketchup lorsqu'il aura fini de manger. Je souhaite qu'il ne soit pas frustrĂ© lorsque nous le mettons dans son siĂšge auto. Je souhaite qu'il ne pleure pas pour moi quand je travaille. Je souhaite qu'il ne grimpe pas sur les meubles et ne fasse pas battre mon cƓur. Je souhaite qu'il ne tente pas de s'asseoir sur le chien et de tomber. Je souhaite qu'il ne soit pas blessĂ©. J'aimerais qu'il ne ressente aucune douleur.

"Brut."

Comme un million d’autres, j’ai malheureusement peur, une phobie, une aversion; peu importe comment vous voulez l'appeler - vomir. La simple pensĂ©e que quelqu'un prĂšs de moi ait besoin de vomir est suffisante pour me vider le ventre. Avant d’avoir un bĂ©bĂ©, je me demandais si j’étais capable de le soigner efficacement quand il serait malade. Alerte spoiler: j'ai rĂ©ussi. Ce n'est pas que des couches sales, des couches-culottes ou la nourriture gluante de quelqu'un d'autre ne soient pas grossiĂšres, mais que le besoin de prendre soin de lui soit plus fort que mon rĂ©flexe nausĂ©eux.

"Quand mon enfant va-t-il ...?"

Quand va-t-il arrĂȘter de se tortiller quand je change de couche? Quand sera-t-il prĂȘt pour l'entraĂźnement au pot? Quand va-t-il arrĂȘter d'allaiter? Quand va-t-il arrĂȘter de faire la sieste? Quand va-t-il arrĂȘter de frapper Ă  la porte de la salle de bain? Quand va-t-il arrĂȘter de pleurer pour moi? Quand va-t-il cesser d'avoir besoin de moi? Quand va-t-il cesser d'ĂȘtre si adorable?

("Jamais" est, bien sûr, la réponse à ces deux derniÚres. Et ce sont les seules réponses dont j'ai vraiment besoin pour l'une de ces questions.)

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